Bretelles de l'autoroute 15, sortie 38 à Saint-Mathieu
Depuis 2015, notre organisme a reçu l'autorisation du ministère des Transports du Québec, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports du Québec pour faire du reboisement dans les deux bretelles au nord de cette sortie d'autoroute. La partie au centre des poteaux bleus qui n'est plus fauchée représente environ 19 000m2.
Des dons d'arbres ont été fait via la SCABRIC, Ambioterra, Botanix Faucher de La Prairie, La Vigile verte, les municipalités de Sainte-Martine et Saint-Mathieu. Les arbres donnés sont trop endommagés pour la vente ou ce sont des surplus de petits arbres issus des pépinières du gouvernement via le Club des 4H. Les plantations et le suivi sont fait bénévolement.
Il y a une forte population de campagnols des champs (mulot), ce qui cause un taux élevé de mortalité parmi les feuillus. Le vent froid hivernal est ce qui semble causer le plus de décès parmi les petits conifères. Il est prévu qu'à maturité, il devrait y avoir 250 arbres dans chaque partie visée.
Avantages prévus de la plantation
– Compétition végétale pour limiter la progression de la phragmite;
- Réduction de l'îlot de chaleur mesuré près de cette sortie;
– Captation de CO2 et carbone;
– Captation de particules fines issus des activités la cimenterie à proximité;
– Meilleure visibilité en cas d'intempérie hivernale et moins de vent pour les usagés de la route;
– Diminution du bruit de l’autoroute.
Des dons d'arbres ont été fait via la SCABRIC, Ambioterra, Botanix Faucher de La Prairie, La Vigile verte, les municipalités de Sainte-Martine et Saint-Mathieu. Les arbres donnés sont trop endommagés pour la vente ou ce sont des surplus de petits arbres issus des pépinières du gouvernement via le Club des 4H. Les plantations et le suivi sont fait bénévolement.
Il y a une forte population de campagnols des champs (mulot), ce qui cause un taux élevé de mortalité parmi les feuillus. Le vent froid hivernal est ce qui semble causer le plus de décès parmi les petits conifères. Il est prévu qu'à maturité, il devrait y avoir 250 arbres dans chaque partie visée.
Avantages prévus de la plantation
– Compétition végétale pour limiter la progression de la phragmite;
- Réduction de l'îlot de chaleur mesuré près de cette sortie;
– Captation de CO2 et carbone;
– Captation de particules fines issus des activités la cimenterie à proximité;
– Meilleure visibilité en cas d'intempérie hivernale et moins de vent pour les usagés de la route;
– Diminution du bruit de l’autoroute.
Étangs Antoine-Charlebois à Sainte-Julie et le parc Le Rocher à Saint-Amable
Durant la construction de l'autoroute 30 entre Sorel et l'autoroute 20, d'importantes quantités de matériaux, tel le sable, ont été nécessaires. Des sablières ont alors été aménagées au nord de Sainte-Julie et au sud de Saint-Amable. Plus d'une douzaine de dépressions peu profondes y ont ainsi été creusées pour excaver le sable. Celles-ci se sont depuis remplies d'eau et une végétation variée y a poussé autour de ces nouveaux étangs et marais.
Cette zone fait partie du massif forestier du Fer-à-Cheval entourant Saint-Amable. Ces forêts forment l'épine dorsale de la Trame verte et bleue du Grand Montréal entre Sorel et le mont Saint-Bruno. Ces nouveaux marais forment aussi les principaux points d'eau pour plusieurs espèces aquatiques, dont la sauvagine et les échassiers. Les villes, le gouvernement du Québec et la Communauté métropolitaine de Montréal ont participé à hauteur de 1 250 000 $ pour effectuer un réaménagement des lieux. Des plantations ont été réalisées pour rétablir le corridor forestier. Des passerelles en bois, des sentiers, des panneaux d’interprétation de la nature et des aires de repos y ont été aménagés afin de protéger ces lieux et de les mettre en valeur.
Ce petit joyau écologique est maintenant habité par l’orignal, le cerf de Virginie, la loutre de rivière, le porc-épic, les tortues serpentines et peintes et plusieurs variétés de salamandres. Des échassiers tels la grande aigrette et le héron y résident, ainsi que des rapaces tels la buse à épaulettes et le balbuzard pêcheur ainsi qu'une multitude de canards et d'oiseaux nicheurs.
Un tel aménagement serait souhaité pour le secteur Fontarabie du Boisé Brossard-La Prairie.
Pour plus de détails: Journal indépendant La Relève
Cette zone fait partie du massif forestier du Fer-à-Cheval entourant Saint-Amable. Ces forêts forment l'épine dorsale de la Trame verte et bleue du Grand Montréal entre Sorel et le mont Saint-Bruno. Ces nouveaux marais forment aussi les principaux points d'eau pour plusieurs espèces aquatiques, dont la sauvagine et les échassiers. Les villes, le gouvernement du Québec et la Communauté métropolitaine de Montréal ont participé à hauteur de 1 250 000 $ pour effectuer un réaménagement des lieux. Des plantations ont été réalisées pour rétablir le corridor forestier. Des passerelles en bois, des sentiers, des panneaux d’interprétation de la nature et des aires de repos y ont été aménagés afin de protéger ces lieux et de les mettre en valeur.
Ce petit joyau écologique est maintenant habité par l’orignal, le cerf de Virginie, la loutre de rivière, le porc-épic, les tortues serpentines et peintes et plusieurs variétés de salamandres. Des échassiers tels la grande aigrette et le héron y résident, ainsi que des rapaces tels la buse à épaulettes et le balbuzard pêcheur ainsi qu'une multitude de canards et d'oiseaux nicheurs.
Un tel aménagement serait souhaité pour le secteur Fontarabie du Boisé Brossard-La Prairie.
Pour plus de détails: Journal indépendant La Relève
Frayère à Brossard
Ce projet à principalement été parrainé par Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie. Ces nouveaux méandres ont été construits pour fournir des habitats supplémentaires aux poissons, échassiers, tortues, oiseaux et mammifères de toutes sortes.
Au siècle passé, la plupart des méandres de la rivière ont été détournés, remblayés et mêmes utilisés comme dépotoir, détruisant ces précieux écosystèmes. Ce projet compense quelque peu pour les dommages antérieurs qui ont été causés à la rivière. Suite à la construction des méandres au début de 2016, un programme de plantation d'arbres et de végétaux a été effectué par plusieurs groupes environnementaux dont La Vigile verte durant l'automne de la même année. Les nouveaux méandres, les deux nouvelles petites îles et la zone de plantation sont montrés au photomontage.
Depuis plusieurs années, plusieurs bénévoles de notre organisme et Enviro kayak ont nettoyé les berges de la rivière ainsi que de petits marais ayant autrefois servi de dépotoirs.
Il est difficile de se rendre aux nouveaux méandres à pied mais il est bien plus facile et agréable de s'y rendre en utilisant un canot ou un kayak. Il faut remonter la rivière Saint-Jacques sur 2.4 kilomètre à partir du quai du parc Radisson de Brossard, qui est utilisé par le groupe d'éco-loisirs Enviro Kayak pour des excursions sur la rivière.
On peut y voir les deux méandres situés en aval du ruisseau Daigneault et au sud de la rue Place Jade et du boulevard Matte à Brossard. Ces méandres ont créé deux petites îles favorables à la nidification d'oiseaux aquatiques. Des outardes, hérons, tortues et castors y ont déjà été observés. Les végétaux plantés tels les érables, chênes, noyers, vinaigriers et riz sauvage continuent d'y pousser, revégétalisant la zone affectée par la construction au nord et les nouvelles berges des méandres.
Au siècle passé, la plupart des méandres de la rivière ont été détournés, remblayés et mêmes utilisés comme dépotoir, détruisant ces précieux écosystèmes. Ce projet compense quelque peu pour les dommages antérieurs qui ont été causés à la rivière. Suite à la construction des méandres au début de 2016, un programme de plantation d'arbres et de végétaux a été effectué par plusieurs groupes environnementaux dont La Vigile verte durant l'automne de la même année. Les nouveaux méandres, les deux nouvelles petites îles et la zone de plantation sont montrés au photomontage.
Depuis plusieurs années, plusieurs bénévoles de notre organisme et Enviro kayak ont nettoyé les berges de la rivière ainsi que de petits marais ayant autrefois servi de dépotoirs.
Il est difficile de se rendre aux nouveaux méandres à pied mais il est bien plus facile et agréable de s'y rendre en utilisant un canot ou un kayak. Il faut remonter la rivière Saint-Jacques sur 2.4 kilomètre à partir du quai du parc Radisson de Brossard, qui est utilisé par le groupe d'éco-loisirs Enviro Kayak pour des excursions sur la rivière.
On peut y voir les deux méandres situés en aval du ruisseau Daigneault et au sud de la rue Place Jade et du boulevard Matte à Brossard. Ces méandres ont créé deux petites îles favorables à la nidification d'oiseaux aquatiques. Des outardes, hérons, tortues et castors y ont déjà été observés. Les végétaux plantés tels les érables, chênes, noyers, vinaigriers et riz sauvage continuent d'y pousser, revégétalisant la zone affectée par la construction au nord et les nouvelles berges des méandres.
Belvédère d'observation du marais du parc de la Terre à Brossard
Le parc de la Terre est situé dans le secteur T de Brossard, entre la rue Tisserand et les bretelles d'accès du pont Champlain. Ce parc recèle les deux seuls milieux humides en zone urbanisée à Brossard. En 2016, le service des parcs de la ville y a fait construire un belvédère d'observation qui surplombe le plus grand des deux marais qui est situé au nord du parc.
L'accès au belvédère est facilité par un trottoir en bois de 55 mètres de long, aménagé sur le rebord d'un monticule isolant le parc des bruits de l'autoroute. La faible pente du trottoir et l'absence de marches permettent aux personnes à mobilité réduite de gravir la pente jusqu'au belvédère.
Un premier panneau d'interprétation situé au début du trottoir touche la thématique du milieu humide et de son étonnante biodiversité. Un deuxième panneau installé en face d'un banc de repos décrit la problématique du phragmite (roseau) commun, une plante exotique envahissante qui se retrouve dans la plupart les zones naturelles et qui en diminue fortement la biodiversité.
Le belvédère d'observation est situé au bout du trottoir et est doté d'un mur architectural ainsi que de trois plateformes permettant à plusieurs personnes de s'y asseoir. L'ensemble de l'aménagement est embelli par la plantation d'une trentaine de chênes rouges, de chênes à gros fruits, d'érables, de conifères et d'un aménagement paysager de plantes rustiques.
Le belvédère permet d'observer le marais qui s'étire sur 150 mètres de long dans le boisé du parc et sur 25 mètres dans sa plus grande largeur. Plusieurs sortes de canards, échassiers et oiseaux peuvent y être observés. Malheureusement, les grenouilles et les menés couramment trouvés dans ce type de milieux humides y sont absents, ce qui ne permet pas de fournir une nourriture suffisante pour que des échassiers y soient observés en plus grand nombre.
Avec des dimensions d'environ 25 mètres par 10 mètres, un deuxième milieu humide est situé à quelques dizaines de mètres plus au sud du parc. Les deux milieux humides ont été reliés par un tuyau de drainage situé à l'avant de la butte et qui passe sous le trottoir. Ce tuyau permettrait éventuellement le passage des menés et des grenouilles si la Ville de Brossard planifie d'y réintroduire ces espèces pour créer un milieu de vie aquatique plus complet.
L'aménagement relaxant fourni par le belvédère est utilisé quotidiennement par plusieurs personnes qui profitent paisiblement de ce petit coin de nature en ville. Ce parc est aussi régulièrement visité par la Vigile verte pour y enlever les déchets, bouteilles et cannettes que certains visiteurs y laissent trop souvent.
L'accès au belvédère est facilité par un trottoir en bois de 55 mètres de long, aménagé sur le rebord d'un monticule isolant le parc des bruits de l'autoroute. La faible pente du trottoir et l'absence de marches permettent aux personnes à mobilité réduite de gravir la pente jusqu'au belvédère.
Un premier panneau d'interprétation situé au début du trottoir touche la thématique du milieu humide et de son étonnante biodiversité. Un deuxième panneau installé en face d'un banc de repos décrit la problématique du phragmite (roseau) commun, une plante exotique envahissante qui se retrouve dans la plupart les zones naturelles et qui en diminue fortement la biodiversité.
Le belvédère d'observation est situé au bout du trottoir et est doté d'un mur architectural ainsi que de trois plateformes permettant à plusieurs personnes de s'y asseoir. L'ensemble de l'aménagement est embelli par la plantation d'une trentaine de chênes rouges, de chênes à gros fruits, d'érables, de conifères et d'un aménagement paysager de plantes rustiques.
Le belvédère permet d'observer le marais qui s'étire sur 150 mètres de long dans le boisé du parc et sur 25 mètres dans sa plus grande largeur. Plusieurs sortes de canards, échassiers et oiseaux peuvent y être observés. Malheureusement, les grenouilles et les menés couramment trouvés dans ce type de milieux humides y sont absents, ce qui ne permet pas de fournir une nourriture suffisante pour que des échassiers y soient observés en plus grand nombre.
Avec des dimensions d'environ 25 mètres par 10 mètres, un deuxième milieu humide est situé à quelques dizaines de mètres plus au sud du parc. Les deux milieux humides ont été reliés par un tuyau de drainage situé à l'avant de la butte et qui passe sous le trottoir. Ce tuyau permettrait éventuellement le passage des menés et des grenouilles si la Ville de Brossard planifie d'y réintroduire ces espèces pour créer un milieu de vie aquatique plus complet.
L'aménagement relaxant fourni par le belvédère est utilisé quotidiennement par plusieurs personnes qui profitent paisiblement de ce petit coin de nature en ville. Ce parc est aussi régulièrement visité par la Vigile verte pour y enlever les déchets, bouteilles et cannettes que certains visiteurs y laissent trop souvent.