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En haut - Rivière Saint-Jacques, secteur agricole, La Prairie, sept. 2022 © P. Blais
RECONNAISSANCE TERRITORIALE, VÉRITÉ & RÉCONCILIATION
Le projet de parc de conservation de la rivière Saint-Jacques est en territoire autochtone non-cédé.
Sources:
https://native-land.ca/
Concordia University
McGill University
-
- À droite - Résumé sur une page fait à la demande d'Alain Therrien, député fédéral de La Prairie.
- Mise à jour: oct. 2022
- Texte: A.Gendron
- Graphisme: SNAP Québec
RECONNAISSANCE TERRITORIALE, VÉRITÉ & RÉCONCILIATION
Le projet de parc de conservation de la rivière Saint-Jacques est en territoire autochtone non-cédé.
Sources:
https://native-land.ca/
Concordia University
McGill University
Diaporama de paysage identitaire relatif au bassin de la rivière Saint-Jacques
Pour voir en photographies à quel point la rivière Saint-Jacques est aimé et populaire,
rechercher ''rivière Saint-Jacques'' sur les médias sociaux!
(À noter que le ''parc régional de la rivière Saint-Jacques'' a été ni complété, ni officialisé, donc jamais concrétisé même si ce toponyme est parfois mentionné sur la toile.)
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(À noter que le ''parc régional de la rivière Saint-Jacques'' a été ni complété, ni officialisé, donc jamais concrétisé même si ce toponyme est parfois mentionné sur la toile.)
Territoire à conserver
À l'origine, le territoire à l'étude pour le projet de parc de la rivière Saint-Jacques était constitué de tous les milieux naturels connectés du boisé Brossard/La Prairie/Carignan/Saint-Jean-sur-Richelieu, ainsi que de la basse partie de la rivière Saint-Jacques incluant son embouchure.
Dans le temps, l'étalement urbain, entre autres, a causé des changements dans la superficie considérée. L'approche et la méthodologie de conservation, la volonté politique, le champs d'expertise, le mandat, le financement disponible, les pouvoirs et horizons d'actions des acteurs impliqués dictent aussi la superficie proposée, ainsi que le résultat jusqu'à présent.
En tant qu'organisme communautaire autonome, nous travaillons de manière concertée, transparente et inclusive. De plus, la connectivité régionale est primordiale pour ce projet selon nous. Une approche de bassin versant qui tiendra compte de l'importance de nos terres agricoles, de nos besoins en santé et d'un meilleur accès à la nature est aussi souhaitée. Finalement, nous espérons un rayonnement de la richesse et la diversité culturelle des nations du territoire.
Ainsi, notre vision du territoire qui devrait être conservé implique directement 7 villes (Brossard, La Prairie, Carignan, Saint-Jean-sur-Richelieu, Candiac, Saint-Philippe et Saint-Jacques-le-Mineur), une agglomération (Longueuil) et 4 MRC (Haut-Richelieu, Roussillon, Vallée-du-Richelieu, Jardin-de-Napierville).
Il y a une implication indirecte de 4 autres administrations (Delson, Sainte-Catherine, Saint-Constant et Kahnawà:ke). La migration nordique des espèces étant une conséquence attendue des changements climatiques. Ces administrations ont sur leur territoire les seuls corridors possibles pour assurer la connectivité des milieux naturels entre Kahnawà:ke et La Prairie. De plus, le lien hydrique du fleuve - et des affluents du petit bassin La Prairie - est évident en raison du milieu fermé créé par la voie maritime.
La reconnaissance de personnalité juridique pour l'écosystème du Fleuve Saint-Laurent aiderait grandement notre cause. La Vigile verte appuie les démarches de l'Alliance Fleuve Saint-Laurent - Observatoire internationale des droits de la nature qui visent l'obtention des droits de la nature.
Les droits de la Nature pourraient être appliqués à la rivière Saint-Jacques et au bois de Brossard* aussi.
*Toponyme simplifié pour représenté le territoire visé, anciennement bois de La Prairie-Brossard ou bois Brossard/La Prairie/Carignan/Saint-Jean-sur-Richelieu.
Dans le temps, l'étalement urbain, entre autres, a causé des changements dans la superficie considérée. L'approche et la méthodologie de conservation, la volonté politique, le champs d'expertise, le mandat, le financement disponible, les pouvoirs et horizons d'actions des acteurs impliqués dictent aussi la superficie proposée, ainsi que le résultat jusqu'à présent.
En tant qu'organisme communautaire autonome, nous travaillons de manière concertée, transparente et inclusive. De plus, la connectivité régionale est primordiale pour ce projet selon nous. Une approche de bassin versant qui tiendra compte de l'importance de nos terres agricoles, de nos besoins en santé et d'un meilleur accès à la nature est aussi souhaitée. Finalement, nous espérons un rayonnement de la richesse et la diversité culturelle des nations du territoire.
Ainsi, notre vision du territoire qui devrait être conservé implique directement 7 villes (Brossard, La Prairie, Carignan, Saint-Jean-sur-Richelieu, Candiac, Saint-Philippe et Saint-Jacques-le-Mineur), une agglomération (Longueuil) et 4 MRC (Haut-Richelieu, Roussillon, Vallée-du-Richelieu, Jardin-de-Napierville).
Il y a une implication indirecte de 4 autres administrations (Delson, Sainte-Catherine, Saint-Constant et Kahnawà:ke). La migration nordique des espèces étant une conséquence attendue des changements climatiques. Ces administrations ont sur leur territoire les seuls corridors possibles pour assurer la connectivité des milieux naturels entre Kahnawà:ke et La Prairie. De plus, le lien hydrique du fleuve - et des affluents du petit bassin La Prairie - est évident en raison du milieu fermé créé par la voie maritime.
La reconnaissance de personnalité juridique pour l'écosystème du Fleuve Saint-Laurent aiderait grandement notre cause. La Vigile verte appuie les démarches de l'Alliance Fleuve Saint-Laurent - Observatoire internationale des droits de la nature qui visent l'obtention des droits de la nature.
Les droits de la Nature pourraient être appliqués à la rivière Saint-Jacques et au bois de Brossard* aussi.
*Toponyme simplifié pour représenté le territoire visé, anciennement bois de La Prairie-Brossard ou bois Brossard/La Prairie/Carignan/Saint-Jean-sur-Richelieu.
Contexte et historique du projet
1977 - Le gouvernement du Québec se dote de la Loi sur les parcs
PROJET ARCHIPEL
1979 - Projet Archipel par le Comité interministériel sur le projet d'aménagement des eaux de l'archipel de Montréal suite aux crues centennales de 1974 et 1979 dans le Grand Montréal.
Le but du projet était d’exploiter la force hydroélectrique du fleuve Saint-Laurent (centrale sur les rapides de Lachine entre autres) pour financer l'aménagement des berges du Grand Montréal à des fins récréotouristiques et de conservation.
Dès le début, la communauté de Kahnawà:ke s’oppose au « Projet Archipel », c’est d’ailleurs la naissance de ce qui deviendra le Kahnawà:ke Environmental Protection Office. Ils sont les gardien.nes du fleuve et ne veulent pas que cet écosystème unique s’éteigne. Avec le recul, l'idée de dominer la Nature par le génie hydrique en espérant pouvoir en profiter et prospérer était contradictoire et néfaste.
Considéré comme le volet vert, le Parc national de l'Archipel a laissé des traces comme les exemples ci-dessous. L’autre volet d'exploitation des ressources naturelles fut un échec pour le comité, mais une victoire du mouvement écologiste, puisque le gouvernement n’a pas pu aller de l’avant avec le projet hydroélectrique sur les rapides de Lachine.
1979 - Planification des parcs-nature de la Communauté urbaine de Montréal
1984, 1985, 1990 - Création des parcs nationaux des îles-de-Boucherville, du Mont-Saint-Bruno et d'Oka respectivement
1985|1989 - Opérations du Centre des sports et loisirs nautiques Défi-Voile Inc de Saint-Lambert à partir d'un bâtiment construit à la Ville de La Prairie au parc du bassin-de-La Prairie dans le cadre du projet du Parc national de l'Archipel. Le bâtiment a été racheté par la ville en 1989, ensuite le parc a été bonifié par une subvention d'Hydro-Québec en 2005.
1985|1987 - Parc de la promenade (devenu André-J.Côté) à la Ville de Candiac: station nautique incluant un quai flottant, un débarcadère et de la stabilisation de berges avec des gabions dans le cadre du projet du Parc national de l'Archipel.
1989|1990 - Plage Jean-Doré selon les plans proposés par l’architecte paysagiste Frederick Todd 60 ans auparavant
PARC DE LA RIVIÈRE SAINT-JACQUES
1980|2003 - Projet de protection et d'aménagement pour la mise en valeur des rives et des abords de la rivière Saint-Jacques étudié et proposé à la Ville de La Prairie par un organisme à but non lucratif local nommé Un-tel Inc. (porte-parole était Denis Blanchet et le président était Lionel Tourangeau).
1985 - Un-tel Inc., avec la subvention provincial du programme Berges Neuves, a fait une mise en valeur de 400 000$ en retirant 40 tonnes de déchets de la rivière Saint-Jacques grâce aux efforts acharnés de 15 personnes.
Cette même année, possiblement en lien avec le projet Archipel, la consultation publique sur les loisirs par la Ville de La Prairie avec SODEM remarque qu'il y a une ''absence d'un plan détaillé de l'aménagement des rives du fleuve Saint-Laurent que plusieurs considèrent comme l'élément moteur des activités de loisir à La Prairie.''
C’est ainsi que dès 1985, la différence de vision est établie : l'aménagement du fleuve est prioritaire à celle de la rivière Saint-Jacques pour l’administration municipale. Par contre, les organismes environnementaux se basent sur la science pour dire que les deux sont connectés et méritent une mise en valeur complémentaire. La vision municipale restera ferme pour certaines administrations subséquentes à La Prairie (G.Dupré, L.F-Roussel et D.Serres), avec l’exception de la création de la piste multifonctionnelle près du golf.
1988 - Premier Plan d'action Saint-Laurent
Début des années 1990 - Victoire écologique de l’abandon du projet de boulevard municipal longeant la rivière Saint-Jacques grâce à Un-tel Inc. et au député influent de la circonscription de Laporte, André Bourdeau. Par contre, à la même période, il y a eu un revers important du mouvement écologique malgré la mobilisation : le remblai et la construction du district de La Magdeleine a été de l'avant.
1992 - Proposition du parc de la rivière Saint-Jacques par le gouvernement du Québec d'environ 2000 hectares
1993 - Deuxième Plan d'action Saint-Laurent
1994 - Un-tel Inc. a mis en place une pépinière et a fait des plantations d'arbres près de la rivière Saint-Jacques qui leur a valu une subvention du député provincial de La Prairie, M. Denis Lazure. Pour être cohérents avec la création d'un parc, il a été possible de faire modifier les aménagements de l'autoroute 30 pour considérer le passage d'une piste cyclable près du ruisseau Saint-Claude et de la rivière Saint-Jacques. Dans les dernières années de l'organisme Un-tel Inc. au début du 21ème siècle, un site internet avait été créé pour leur version du parc de la rivière Saint-Jacques.
1996|2016 - Création d'Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie dont la mission incluait un plan d'action et de réhabilitation (PARE) pour la rivière Saint-Jacques. Une consultation publique de 1997 indique que le parc de la rivière Saint-Jacques est une priorité, donc un comité technique de la rivière Saint-Jacques sera mis en place.
1998 - Troisième Plan d'action Saint-Laurent Vision 2000. Financement important à la mission reçu de ce plan d'action jusqu'à la prochaine version, ainsi que du groupe Résident Vert de Brossard. Ceci amènera une large concertation par Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie quant à l'avenir de la rivière Saint-Jacques et le document d'inventaire des aspects biophysiques et humains de F. Miller sera publié en mars 2023.
2002 - ''Entente de communauté sur le développement durable'' par la CMM et MAMM qui inclut le concept de la Trame verte et bleue
2003 - Quatrième Plan d'action Saint-Laurent
2003 - Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie spécifiait que « le 17 décembre 2003, le Ministre de l’environnement du Québec, la Société de la Faune et des Parcs du Québec, la Ville de La Prairie et l’Arrondissement de La Prairie inc. signaient un Protocole d’entente visant la délimitation et la protection d’un parc de conservation à l’intérieur du périmètre d’urbanisation des secteurs de
l’arrondissement et du Grand Boisé de la Ville de La Prairie. C’est que déjà, à cette époque, la Ville de La Prairie et le propriétaire des terrains avaient en tête de développer le Grand Boisé. »
2003|2006 - Sous Thomas Mulcair, ministre de l'environnement, le gouvernement du Québec songe de nouveau à un parc pour l'archipel de Montréal bien que différent de la version de 1979.
2004 - La Coalition Sauvons nos boisés et milieux humides (Tommy Montpetit, Andrée Gendron et Denis Blanchet) milite pour la sauvegarde des éléments du Grand Boisé (le remblai et la construction dans le Grand Boisé a débuté dans cette décennie, ce fût un 2e échec du mouvement écologiste). Cette destruction a été également dénoncée et documentée par Jean-Yves McGee de la Coalition Eau Secours! entre 2004 et 2007.
2004 - Une citoyenne de La Prairie, Isabelle Leclerc, dépose une pétition pour la création d'un parc régional de la rivière Saint-Jacques incluant le Grand Boisé
2005 - Financement de l'aménagement du parc du bassin-de-La Prairie par le biais du programme de mise en valeur intégrée du projet de ligne des Cantons - Hertel d'Hydro Québec
2006|2007 - Premier plan directeur en deux phases du parc de la rivière Saint-Jacques par l' Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie. Une cartographie du parc régional à l’étude est publiée par la ZIP Ville-Marie incluant la basse partie de la rivière Saint-Jacques presqu’à la confluence avec le ruisseau Saint-André à Saint-Philippe et tous les boisés résiduels limitrophes jusqu’aux abords de la rivière l’Acadie.
Cette même année, Nature-Action Québec publie une cartographie du corridor forestier du Mont Saint-Bruno qui inclut le boisé Brossard/LaPrairie/Carignan. Celui-ci sera clairement désignée dans la version de ce corridor datant de 2010.
2007 - Une quarantaine de groupes écologistes suggèrent la création d’un Parc de parc écologique de l’archipel de Montréal (P.P.É.A.M), qui est en somme un concept qui a transigé aujourd'hui vers la Trame verte et bleue du Grand Montréal, ce qui inclus toute la superficie visée par le parc de la rivière Saint-Jacques
2007|2008 - Dans le cadre de l'application de sa politique verte, la Maison des jeunes Adrénaline organise des nettoyages de berges du bassin de La Prairie avec la communauté.
2008|2009 - Plantation de 2 300 arbres et 1 800 arbustes indigènes par Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie et des bénévoles de la communauté
2010 - À la suggestion d'Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie, l'organisme la Vigile verte fût créé - des ''gardiens'' et concitoyens issus des communautés à proximité de la rivière Saint-Jacques pour garder un oeil dessus et la protéger
2011|2012 - La Vigile verte devient un des 100 partenaires du P.P.É.A.M et a fait partie du comité qui vise à obtenir une trame verte et bleue du Grand Montréal
2011|2026 - Cinquième Plan d'action Saint-Laurent
2012 - Deuxième plan directeur (mise à jour) et plan d'action exécuté jusqu'en 2016 par Accès Fleuve/Zip Ville-Marie.
2012 - Philippe Blais rencontre M.Huong Mai, député fédéral de Brossard, sur le concept de parc urbain fédéral. La proposition a été jugée admissible et à considérer. Tous les critères (intégrité écologique, richesse historique nationale et proximité de la métropole) contribuaient significativement à une candidature forte pour ce nouveau concept de parc de grande envergure à proximité de la zone urbaine financé par les différentes instances gouvernementales (fédéral, provincial, municipal).
2013 - Création de la Réserve naturelle du Bois-de-Brossard (230 hectares sur 585 hectares du territoire protégé de la ville de Brossard), ce qui constitue une reconnaissance légale officielle par le gouvernement du Québec en vertu de la Loi sur la conservation du patrimoine naturel.
17 juillet 2016 - Devant l'échec de la protection des milieux humides et l'étalement urbain dans la dernière décennie, un décret fédéral d'urgence a été mis en place pour protéger la métapopulation de La Prairie de la rainette faux-grillon de l'ouest; une espèce parapluie à statut précaire dont la population chute en raison de la perte d'habitat.
2016 - Dernière action d' Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie : la frayère artificielle est complétée à Brossard (plus de 300 000$ d’investissement des partenaires fédéraux, provinciaux et communautaires, incluant la Vigile verte).
Il y a eu d'autres actions structurantes antérieures comme l'accès à la rivière par le biais du parc du bassin-de-La Prairie, le parc Radisson et le parc Illinois (investissement de 450 000$ du Fonds Bleu pour ce premier aménagement récréatif de la phase I du plan directeur). De plus, il y a eu l'aménagement pour la sauvagine du MFFP qui a aussi été complété dans la phase I (investissement de 430 000 $ du MRNF pour la mise en valeur, acquisitions diverses à des fins de conservation de la part de la Ville de La Prairie et Brossard). Aucune autre structure prévue pour la basse Saint-Jacques dans la phase I, comme sept sites d'observation avec panneau, trois tours d'observation, trois sites de pêche, puis un accès à l'eau, n'a été concrétisée. Cependant, il y a des sites informels d'observation ornithologique et des sites populaires pour la pêche. Des pistes cyclables/multifonctionnelles et des sentiers informels sont présents de part et d'autre de la basse partie de la rivière Saint-Jacques à Brossard et La Prairie, au parc de conservation du marais, au lac Fontarabie, à la base de plein air Brossard et d'autres endroits du bois de Brossard, puis dans divers parcs à Saint-Philippe.
2016|2019 – Étude d’Ouranos Infrastructures vertes : développement d’une stratégie multi-échelle basée sur la complexité et la résilience en milieu urbain. Maure et al. en 2018 ont fait une carte indiquant la priorisation de conservation suivant une stratégie favorisant à la fois la réduction des risques d’inondation, la conservation de la biodiversité et la lutte aux îlots de chaleur. Le boisé de la Commune et certaines parties du boisé Brossard/La Prairie, ainsi que des éléments des trois rivières sur notre territoire sont identifiés près de la plus haute priorité de protection. De même pour le boisé Héritage Roussillon / Côte-Saint-Georges. Selon cette analyse, la plus haute priorité de protection sur notre territoire a été remise pour le RécréoParc, des éléments de la rivière Saint-Jacques et les petits boisés de la Bataille Sud à Saint-Philippe.
2019 - Appui de Mme Alexandre Mendès, députée fédérale de Brossard, pour un parc d'envergure de conservation pour la rivière Saint-Jacques
2020 - Réponse de considération du projet de parc d'envergure de conservation par l'honorable J.Wilkinson, Ministre de l'Environnement et du Changement Climatique, Canada
2020 - Mémoire déposé par la Vigile verte dans cadre de la table ronde du Ministre de l’Environnement sur Parcs Canada
2021 - Appui réitéré du Ministère des Forêts, de la faune et des Parcs (MFFP), Québec, à la création d'un parc d'envergure de conservation
2021|2022 - Mobilisation citoyenne, sensibilisation des élus municipaux et provinciaux, demande de recherche partenariale universitaire (UQAM), consultation avec Kahnawà:ke et des organismes communautaires multisectoriels, discussion avec SNAP Québec, visite du parc urbain national de la Rouge, ajustement de la superficie considérée pour inclure une approche de bassin versant plus complète, travail pour faire valoir l'importance de la connectivité des milieux entre le corridor forestier Châteauguay-Léry | Kahnawà:ke | La Prairie-Brossard (corridor forestier du Mont-Saint-Bruno), puis rencontres de suivi avec Alain Therrien et Alexandra Mendès. Envoi d'un premier lot de signatures à la Communauté Métropolitaine de Montréal dans le cadre de la COP15.
2023 - Dépôt d'un lot de 705 signatures et/ou commentaires de la demande d'appui pour le parc de la rivière Saint-Jacques à la séance ordinaire de conseil de la MRC de Roussillon du 7 juin. Bien que la majorité des élu.es de la MRC de Roussillon ne se sentent pas concernés malgré l'aspect régional de ce parc, il y a eu diverses discussions avec certains employés et élu.es des villes concernées quant à des actions sensés en prévision de la création possible d'un parc de la rivière Saint-Jacques. Par exemple, d'encourager la création de corridors de biodiversité dans le but d'assurer la connectivité entre les milieux naturels résiduels.
2023-2024 - Nature-Action Québec finalise un projet d'inventaire et de conception de plan pour un partie visée de la rivière Saint-Jacques à la Ville de La Prairie grâce à la Fondation du Grand Montréal.
2024 – Albert Juneau propose de mettre en valeur l’ancienne emprise du premier chemin de fer au Canada (1836) qui passait par dessus la rivière Saint-Jacques dans le boisé de la commune. Une partie de l’emprise entre le rang Saint-Raphaël et la jonction de la voie ferrée reliant Saint-Jean-sur-Richelieu et Saint-Lambert (chemin de la Bataille environ) appartient toujours à la Ville de La Prairie. Cette partie en zone agricole est bordée par de la végétation et des champs. La partie près de la jonction est très bien conservée et entretenue.
2024 - Résolution 2024-08-186 de la Ville de La Prairie : son programme triennal d'immobilisation (PTI) 2025-2027 prévoit un investissement de 1M$ pour concrétiser une première phase de leur concept de parc de la rivière Saint-Jacques à La Prairie. De plus, la qualité de l'eau devrait s'améliorer dans la région puisque cette ville prévoit construire une nouvelle usine d’épuration des eaux usées et d’agrandir l’usine de filtration actuelle d'ici 2027.
2024 - Consultation du projet de Plan métropolitain d'aménagement et de développement révisé : surprise un concept de parc métropolitain est à l'étude incluant la rivière Saint-Jacques et la rivière de la Tortue. Les limites proposées sont différentes pour les aires boisés et les corridors de connectivité/biodiversité/migration. Source: PMAD Révisé p.215
PROJET ARCHIPEL
1979 - Projet Archipel par le Comité interministériel sur le projet d'aménagement des eaux de l'archipel de Montréal suite aux crues centennales de 1974 et 1979 dans le Grand Montréal.
Le but du projet était d’exploiter la force hydroélectrique du fleuve Saint-Laurent (centrale sur les rapides de Lachine entre autres) pour financer l'aménagement des berges du Grand Montréal à des fins récréotouristiques et de conservation.
Dès le début, la communauté de Kahnawà:ke s’oppose au « Projet Archipel », c’est d’ailleurs la naissance de ce qui deviendra le Kahnawà:ke Environmental Protection Office. Ils sont les gardien.nes du fleuve et ne veulent pas que cet écosystème unique s’éteigne. Avec le recul, l'idée de dominer la Nature par le génie hydrique en espérant pouvoir en profiter et prospérer était contradictoire et néfaste.
Considéré comme le volet vert, le Parc national de l'Archipel a laissé des traces comme les exemples ci-dessous. L’autre volet d'exploitation des ressources naturelles fut un échec pour le comité, mais une victoire du mouvement écologiste, puisque le gouvernement n’a pas pu aller de l’avant avec le projet hydroélectrique sur les rapides de Lachine.
1979 - Planification des parcs-nature de la Communauté urbaine de Montréal
1984, 1985, 1990 - Création des parcs nationaux des îles-de-Boucherville, du Mont-Saint-Bruno et d'Oka respectivement
1985|1989 - Opérations du Centre des sports et loisirs nautiques Défi-Voile Inc de Saint-Lambert à partir d'un bâtiment construit à la Ville de La Prairie au parc du bassin-de-La Prairie dans le cadre du projet du Parc national de l'Archipel. Le bâtiment a été racheté par la ville en 1989, ensuite le parc a été bonifié par une subvention d'Hydro-Québec en 2005.
1985|1987 - Parc de la promenade (devenu André-J.Côté) à la Ville de Candiac: station nautique incluant un quai flottant, un débarcadère et de la stabilisation de berges avec des gabions dans le cadre du projet du Parc national de l'Archipel.
1989|1990 - Plage Jean-Doré selon les plans proposés par l’architecte paysagiste Frederick Todd 60 ans auparavant
PARC DE LA RIVIÈRE SAINT-JACQUES
1980|2003 - Projet de protection et d'aménagement pour la mise en valeur des rives et des abords de la rivière Saint-Jacques étudié et proposé à la Ville de La Prairie par un organisme à but non lucratif local nommé Un-tel Inc. (porte-parole était Denis Blanchet et le président était Lionel Tourangeau).
1985 - Un-tel Inc., avec la subvention provincial du programme Berges Neuves, a fait une mise en valeur de 400 000$ en retirant 40 tonnes de déchets de la rivière Saint-Jacques grâce aux efforts acharnés de 15 personnes.
Cette même année, possiblement en lien avec le projet Archipel, la consultation publique sur les loisirs par la Ville de La Prairie avec SODEM remarque qu'il y a une ''absence d'un plan détaillé de l'aménagement des rives du fleuve Saint-Laurent que plusieurs considèrent comme l'élément moteur des activités de loisir à La Prairie.''
C’est ainsi que dès 1985, la différence de vision est établie : l'aménagement du fleuve est prioritaire à celle de la rivière Saint-Jacques pour l’administration municipale. Par contre, les organismes environnementaux se basent sur la science pour dire que les deux sont connectés et méritent une mise en valeur complémentaire. La vision municipale restera ferme pour certaines administrations subséquentes à La Prairie (G.Dupré, L.F-Roussel et D.Serres), avec l’exception de la création de la piste multifonctionnelle près du golf.
1988 - Premier Plan d'action Saint-Laurent
Début des années 1990 - Victoire écologique de l’abandon du projet de boulevard municipal longeant la rivière Saint-Jacques grâce à Un-tel Inc. et au député influent de la circonscription de Laporte, André Bourdeau. Par contre, à la même période, il y a eu un revers important du mouvement écologique malgré la mobilisation : le remblai et la construction du district de La Magdeleine a été de l'avant.
1992 - Proposition du parc de la rivière Saint-Jacques par le gouvernement du Québec d'environ 2000 hectares
1993 - Deuxième Plan d'action Saint-Laurent
1994 - Un-tel Inc. a mis en place une pépinière et a fait des plantations d'arbres près de la rivière Saint-Jacques qui leur a valu une subvention du député provincial de La Prairie, M. Denis Lazure. Pour être cohérents avec la création d'un parc, il a été possible de faire modifier les aménagements de l'autoroute 30 pour considérer le passage d'une piste cyclable près du ruisseau Saint-Claude et de la rivière Saint-Jacques. Dans les dernières années de l'organisme Un-tel Inc. au début du 21ème siècle, un site internet avait été créé pour leur version du parc de la rivière Saint-Jacques.
1996|2016 - Création d'Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie dont la mission incluait un plan d'action et de réhabilitation (PARE) pour la rivière Saint-Jacques. Une consultation publique de 1997 indique que le parc de la rivière Saint-Jacques est une priorité, donc un comité technique de la rivière Saint-Jacques sera mis en place.
1998 - Troisième Plan d'action Saint-Laurent Vision 2000. Financement important à la mission reçu de ce plan d'action jusqu'à la prochaine version, ainsi que du groupe Résident Vert de Brossard. Ceci amènera une large concertation par Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie quant à l'avenir de la rivière Saint-Jacques et le document d'inventaire des aspects biophysiques et humains de F. Miller sera publié en mars 2023.
2002 - ''Entente de communauté sur le développement durable'' par la CMM et MAMM qui inclut le concept de la Trame verte et bleue
2003 - Quatrième Plan d'action Saint-Laurent
2003 - Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie spécifiait que « le 17 décembre 2003, le Ministre de l’environnement du Québec, la Société de la Faune et des Parcs du Québec, la Ville de La Prairie et l’Arrondissement de La Prairie inc. signaient un Protocole d’entente visant la délimitation et la protection d’un parc de conservation à l’intérieur du périmètre d’urbanisation des secteurs de
l’arrondissement et du Grand Boisé de la Ville de La Prairie. C’est que déjà, à cette époque, la Ville de La Prairie et le propriétaire des terrains avaient en tête de développer le Grand Boisé. »
2003|2006 - Sous Thomas Mulcair, ministre de l'environnement, le gouvernement du Québec songe de nouveau à un parc pour l'archipel de Montréal bien que différent de la version de 1979.
2004 - La Coalition Sauvons nos boisés et milieux humides (Tommy Montpetit, Andrée Gendron et Denis Blanchet) milite pour la sauvegarde des éléments du Grand Boisé (le remblai et la construction dans le Grand Boisé a débuté dans cette décennie, ce fût un 2e échec du mouvement écologiste). Cette destruction a été également dénoncée et documentée par Jean-Yves McGee de la Coalition Eau Secours! entre 2004 et 2007.
2004 - Une citoyenne de La Prairie, Isabelle Leclerc, dépose une pétition pour la création d'un parc régional de la rivière Saint-Jacques incluant le Grand Boisé
2005 - Financement de l'aménagement du parc du bassin-de-La Prairie par le biais du programme de mise en valeur intégrée du projet de ligne des Cantons - Hertel d'Hydro Québec
2006|2007 - Premier plan directeur en deux phases du parc de la rivière Saint-Jacques par l' Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie. Une cartographie du parc régional à l’étude est publiée par la ZIP Ville-Marie incluant la basse partie de la rivière Saint-Jacques presqu’à la confluence avec le ruisseau Saint-André à Saint-Philippe et tous les boisés résiduels limitrophes jusqu’aux abords de la rivière l’Acadie.
Cette même année, Nature-Action Québec publie une cartographie du corridor forestier du Mont Saint-Bruno qui inclut le boisé Brossard/LaPrairie/Carignan. Celui-ci sera clairement désignée dans la version de ce corridor datant de 2010.
2007 - Une quarantaine de groupes écologistes suggèrent la création d’un Parc de parc écologique de l’archipel de Montréal (P.P.É.A.M), qui est en somme un concept qui a transigé aujourd'hui vers la Trame verte et bleue du Grand Montréal, ce qui inclus toute la superficie visée par le parc de la rivière Saint-Jacques
2007|2008 - Dans le cadre de l'application de sa politique verte, la Maison des jeunes Adrénaline organise des nettoyages de berges du bassin de La Prairie avec la communauté.
2008|2009 - Plantation de 2 300 arbres et 1 800 arbustes indigènes par Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie et des bénévoles de la communauté
2010 - À la suggestion d'Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie, l'organisme la Vigile verte fût créé - des ''gardiens'' et concitoyens issus des communautés à proximité de la rivière Saint-Jacques pour garder un oeil dessus et la protéger
2011|2012 - La Vigile verte devient un des 100 partenaires du P.P.É.A.M et a fait partie du comité qui vise à obtenir une trame verte et bleue du Grand Montréal
2011|2026 - Cinquième Plan d'action Saint-Laurent
2012 - Deuxième plan directeur (mise à jour) et plan d'action exécuté jusqu'en 2016 par Accès Fleuve/Zip Ville-Marie.
2012 - Philippe Blais rencontre M.Huong Mai, député fédéral de Brossard, sur le concept de parc urbain fédéral. La proposition a été jugée admissible et à considérer. Tous les critères (intégrité écologique, richesse historique nationale et proximité de la métropole) contribuaient significativement à une candidature forte pour ce nouveau concept de parc de grande envergure à proximité de la zone urbaine financé par les différentes instances gouvernementales (fédéral, provincial, municipal).
2013 - Création de la Réserve naturelle du Bois-de-Brossard (230 hectares sur 585 hectares du territoire protégé de la ville de Brossard), ce qui constitue une reconnaissance légale officielle par le gouvernement du Québec en vertu de la Loi sur la conservation du patrimoine naturel.
17 juillet 2016 - Devant l'échec de la protection des milieux humides et l'étalement urbain dans la dernière décennie, un décret fédéral d'urgence a été mis en place pour protéger la métapopulation de La Prairie de la rainette faux-grillon de l'ouest; une espèce parapluie à statut précaire dont la population chute en raison de la perte d'habitat.
2016 - Dernière action d' Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie : la frayère artificielle est complétée à Brossard (plus de 300 000$ d’investissement des partenaires fédéraux, provinciaux et communautaires, incluant la Vigile verte).
Il y a eu d'autres actions structurantes antérieures comme l'accès à la rivière par le biais du parc du bassin-de-La Prairie, le parc Radisson et le parc Illinois (investissement de 450 000$ du Fonds Bleu pour ce premier aménagement récréatif de la phase I du plan directeur). De plus, il y a eu l'aménagement pour la sauvagine du MFFP qui a aussi été complété dans la phase I (investissement de 430 000 $ du MRNF pour la mise en valeur, acquisitions diverses à des fins de conservation de la part de la Ville de La Prairie et Brossard). Aucune autre structure prévue pour la basse Saint-Jacques dans la phase I, comme sept sites d'observation avec panneau, trois tours d'observation, trois sites de pêche, puis un accès à l'eau, n'a été concrétisée. Cependant, il y a des sites informels d'observation ornithologique et des sites populaires pour la pêche. Des pistes cyclables/multifonctionnelles et des sentiers informels sont présents de part et d'autre de la basse partie de la rivière Saint-Jacques à Brossard et La Prairie, au parc de conservation du marais, au lac Fontarabie, à la base de plein air Brossard et d'autres endroits du bois de Brossard, puis dans divers parcs à Saint-Philippe.
2016|2019 – Étude d’Ouranos Infrastructures vertes : développement d’une stratégie multi-échelle basée sur la complexité et la résilience en milieu urbain. Maure et al. en 2018 ont fait une carte indiquant la priorisation de conservation suivant une stratégie favorisant à la fois la réduction des risques d’inondation, la conservation de la biodiversité et la lutte aux îlots de chaleur. Le boisé de la Commune et certaines parties du boisé Brossard/La Prairie, ainsi que des éléments des trois rivières sur notre territoire sont identifiés près de la plus haute priorité de protection. De même pour le boisé Héritage Roussillon / Côte-Saint-Georges. Selon cette analyse, la plus haute priorité de protection sur notre territoire a été remise pour le RécréoParc, des éléments de la rivière Saint-Jacques et les petits boisés de la Bataille Sud à Saint-Philippe.
2019 - Appui de Mme Alexandre Mendès, députée fédérale de Brossard, pour un parc d'envergure de conservation pour la rivière Saint-Jacques
2020 - Réponse de considération du projet de parc d'envergure de conservation par l'honorable J.Wilkinson, Ministre de l'Environnement et du Changement Climatique, Canada
2020 - Mémoire déposé par la Vigile verte dans cadre de la table ronde du Ministre de l’Environnement sur Parcs Canada
2021 - Appui réitéré du Ministère des Forêts, de la faune et des Parcs (MFFP), Québec, à la création d'un parc d'envergure de conservation
2021|2022 - Mobilisation citoyenne, sensibilisation des élus municipaux et provinciaux, demande de recherche partenariale universitaire (UQAM), consultation avec Kahnawà:ke et des organismes communautaires multisectoriels, discussion avec SNAP Québec, visite du parc urbain national de la Rouge, ajustement de la superficie considérée pour inclure une approche de bassin versant plus complète, travail pour faire valoir l'importance de la connectivité des milieux entre le corridor forestier Châteauguay-Léry | Kahnawà:ke | La Prairie-Brossard (corridor forestier du Mont-Saint-Bruno), puis rencontres de suivi avec Alain Therrien et Alexandra Mendès. Envoi d'un premier lot de signatures à la Communauté Métropolitaine de Montréal dans le cadre de la COP15.
2023 - Dépôt d'un lot de 705 signatures et/ou commentaires de la demande d'appui pour le parc de la rivière Saint-Jacques à la séance ordinaire de conseil de la MRC de Roussillon du 7 juin. Bien que la majorité des élu.es de la MRC de Roussillon ne se sentent pas concernés malgré l'aspect régional de ce parc, il y a eu diverses discussions avec certains employés et élu.es des villes concernées quant à des actions sensés en prévision de la création possible d'un parc de la rivière Saint-Jacques. Par exemple, d'encourager la création de corridors de biodiversité dans le but d'assurer la connectivité entre les milieux naturels résiduels.
2023-2024 - Nature-Action Québec finalise un projet d'inventaire et de conception de plan pour un partie visée de la rivière Saint-Jacques à la Ville de La Prairie grâce à la Fondation du Grand Montréal.
2024 – Albert Juneau propose de mettre en valeur l’ancienne emprise du premier chemin de fer au Canada (1836) qui passait par dessus la rivière Saint-Jacques dans le boisé de la commune. Une partie de l’emprise entre le rang Saint-Raphaël et la jonction de la voie ferrée reliant Saint-Jean-sur-Richelieu et Saint-Lambert (chemin de la Bataille environ) appartient toujours à la Ville de La Prairie. Cette partie en zone agricole est bordée par de la végétation et des champs. La partie près de la jonction est très bien conservée et entretenue.
2024 - Résolution 2024-08-186 de la Ville de La Prairie : son programme triennal d'immobilisation (PTI) 2025-2027 prévoit un investissement de 1M$ pour concrétiser une première phase de leur concept de parc de la rivière Saint-Jacques à La Prairie. De plus, la qualité de l'eau devrait s'améliorer dans la région puisque cette ville prévoit construire une nouvelle usine d’épuration des eaux usées et d’agrandir l’usine de filtration actuelle d'ici 2027.
2024 - Consultation du projet de Plan métropolitain d'aménagement et de développement révisé : surprise un concept de parc métropolitain est à l'étude incluant la rivière Saint-Jacques et la rivière de la Tortue. Les limites proposées sont différentes pour les aires boisés et les corridors de connectivité/biodiversité/migration. Source: PMAD Révisé p.215
Sources:
Archives de la Société d'histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine
Archives d'Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie
Rapport 2010-2020 La Vigile verte
Sources:
Archives de la Société d'histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine
Archives d'Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie
Rapport 2010-2020 La Vigile verte
Comparaison avec le parc national urbain de la Rouge à Toronto pour illustrer le potentiel de notre projet, et les similitudes avec le parc de la rivière Saint-Jacques s'il était achevé!
Rouge National Urban Park comparison - an insight of what may come for us!
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Lien intéressants / Interesting Links
Parks Canada Rouge National Urban Park
Seneca village dicovery
Indigenous archeology
Bead Hill National History Site of Canada
*First Nations Advisory Circle
Parks Canada Rouge National Urban Park
Seneca village dicovery
Indigenous archeology
Bead Hill National History Site of Canada
*First Nations Advisory Circle
* https://www.pc.gc.ca/fr/pn-np/on/rouge/info/partenaires-partners/indigene-indigenous
1. Gaétan Bourdages, La Prairie Histoire d'une ville pionnière, Édition Histoire Québec, Collection SHLM, p 20-21.
1. Gaétan Bourdages, La Prairie Histoire d'une ville pionnière, Édition Histoire Québec, Collection SHLM, p 20-21.
En 2015, 27 espèces à statut précaire ont été identifiées pour l'écosystème de la forêt Carolinienne de la rivière Rouge.
En 2012, 41 espèces à statut précaire ont été observées pour le domaine bioclimatique de l'érablière à caryer de la rivière Saint-Jacques. De plus, il y a un décret fédéral d'urgence pour la protection de la rainette faux-grillon de l'Ouest depuis le 17 Juillet 2016.
In the Rouge River Carolinian forest Ecosystem, 27 species at risk were identified in 2015.
As for the Saint-Jacques River Maple-Hickory bioclimatic domain, 41 species at risk were identified in 2012, and since the 17th of July 2016, there is an emergency order for the protection of a federal specie at risk (SAR Act), the Western Chorus frog!
En 2012, 41 espèces à statut précaire ont été observées pour le domaine bioclimatique de l'érablière à caryer de la rivière Saint-Jacques. De plus, il y a un décret fédéral d'urgence pour la protection de la rainette faux-grillon de l'Ouest depuis le 17 Juillet 2016.
In the Rouge River Carolinian forest Ecosystem, 27 species at risk were identified in 2015.
As for the Saint-Jacques River Maple-Hickory bioclimatic domain, 41 species at risk were identified in 2012, and since the 17th of July 2016, there is an emergency order for the protection of a federal specie at risk (SAR Act), the Western Chorus frog!